Je ma baladais comme je le faisais tout les jours de village en village. Je ne travaillais pas et je n’avais pas de maisons ou d’appartement. Je vivais au jour le jour, mais je n’étais pas malheureusement au contraire ! J’aimais cette vie d’aventure et de mystère. Donc le village où je venais de débarquer et bah il était… vide ! Pas un chat. Personne ! Comme si il n’y avait pas âme qui vive dans ce village et en plus il était délabré, assez glauque même. Les maisons sont tout assez vieilles, les volets en bois sont fermés et sur les toits il manque quelque tuile. C’était aussi très venteux comme si il allait ce passer quelque chose de mauvais comme un meurtre. Mais bon j’aimais ce genre d’ambiance bien glauque, qui fait bien flipper, qui retourne les tripes à t’en faire vomir. Je marchais dans la rue principale, enfin je pense et entendis un bruit venir d’une rue adjacente à la rue principale. Je me dirigea vers cette rue qui était en faite une impasse et il y avait des cartons et des boite de bois sur le côte, empilé comme ci c’était fait exprès, je pensa alors : « Encore quelqu’un qui ne savait pas quoi faire. ».

Quand une ombre sortis de derrière les boîtes je lança un poignarde vers les boîte entre les planches qui constituais cette boîte et j’entendis un cri. Un homme qui devait avoir 20 000 ans avait une éraflure sur la joue et je savais que j’allais me batte vus qu’il avait une épée en main et avait un regarde colérique. Je dégainai mon katana et l’homme se jeta sur moi ! Je parai son épée et je me retrouvai contre le mur parce qu’il était plus fort que moi. J’essayas de me dégager mais il me retenais contre le mur, je me dis : « Si je ne me sorte pas tout de suite de derrière ce mur je suis fichus ! ». je poussa mon adversaire de tout me force et il se retrouvas lui contre le mur mais avec ma lame sous la gorge. Je lui dis :

-Si tu veux me tuer il faut mieux t’y prendre ! Je ne suis pas si faible !

Il me poussa alors dans les caisses et elles me tombèrent dessus, je fus caché plus tôt ensevelie par plusieurs caisses et je perdis mon katana, je me mis à paniquer car je détestais ne pas avoir mon katana près de moi. Je cherchai mon katana en ignorant complètement l’ennemi qui allait me tuer. Mais à ce moment la une personne surgis et tua le fou furieux qui allait me tuer. Je retrouvai mon katana sous un carton, je le pris et le rangea, un peu plus calme. Mais quand je vis l’inconnu une peur panique me pris et je ne pouvais plus bouger, ma peur panique des inconnues refaisait surface, et c’était mal choisis pour arriver.

Eleana traînait dans Ranrchir, l'endroit soupçonné d'être le repaire des Nécrosoris. Bon, il n'y avait aucune certitide là-dedans. On avait glisser à la jeune femme une mission indiquant espionnage et vol. Et non de meurtres, cela changaeit, pour une fois.

Alors qu'elle marchait, une cape sombre sur le dos, à travers les rues délabrées de l'endroit si mystérieux, elle entendit des cries suspects. Elle dressa les oreilles. Que se passait-il ?

Curieuse et alertée par son instinct, guidée par des pressentiments qui n'envisaheaient rien de bon, elle se faufila dans une ruelle sombre. Des bruits sourds se faisaient entendre. Une baguarre, sans doute, mais entre qui et qui ?

-Si tu veux me tuer il faut mieux t’y prendre ! Je ne suis pas si faible ! S'écria une voix féminine.

Lorsque je fus suffisament proche, j'identifiais un vagabond qui se battait avec une jolie elfe. Bon oké, tous deux étaient armés, donc ce vagabond n'était pas si vagabond que sa finalement.

Ce dernier fit tomber la jeune elfe qui retomba sur une pile de cartons qui l'ensouvelirent aussitôt.

Sans que je sache pourquoi, je marchais tranquillement, silencieusement mais de façon hostile vers cet homme. Une fois proche, je déviais son attaque d'épée, lui fauchais les jambes. Il retomba au sol, et quand il fut à genoux, je lui tranchais la gorge d'un geste vif. Le sang gicla, le corps tomba, mais je n'y fis pas attention.

Je m'approchais de la jeune femme, enlevait les cartons qui traînaient et l'aidait à la relever.

-Tout va bien ? Demandai-je en analysant son corps à la recherche d'une quelconque blessure.

Quand je vis le corps de l’homme au sol et avec la gorge trancher je compris qu’elle venait de me sauver la vie mais j’avais trop peur pour me lever. Elle enleva les cartons qui se trouvait encore autour de moi et m’aida à me relever. Elle me dit d’une voix douce :

-Tout va bien ?

Elle me regardait des pieds à la tête, je tremblais toujours autant, je commençai alors à reculer et me retrouva contre le mur. Cette femme me terrifier, non pas qu’elle était laide au contraire elle rayonnais de beauté dans cette ruelle sombre, j’avais peur parce que je ne la connaissais pas et j’avais aussi peur qu’elle soit comme c’est homme qui m’avait enlever il y a longtemps. J’essayais de me reprendre mais rien n’à faire je tremblais de tout mon corps. J’articula c’est mot avec difficulté vus que j’avais une boule dans la gorge :

-Merci… et oui je vais bien.

Je la regardas et commença à reprendre mes esprits, je commençai alors à glisser contre le mur vers la rue principale parce que l’odeur de sang commença à me prendre la gorge. Je sortis de la rue et me mis à courir laissant la fille qui m’avait aider en plan mais je n’avais pas remarque quand faite elle me suivait. Au bout de 5 minutes de course je m’arrêtai à un coin de rue et quand je me retourne je la vis arriver. J’ouvrit de grands yeux surprise qu’elle me suive, je me demanda : « Mais pourquoi elle me suis ? Je lui ai dis que j’allais bien pas besoin de me collé ! ». Je la regardais toujours avec un air ahurie, comme ci elle était un monstre, pour moi les inconnus me faisait peur mais là elle commençai a me paraître gentils. Je lui demandai alors :

-Pourquoi m’as-tu suivie ? Tu ne me dois rien. C’est moi qui te remercie de m’avoir sauvé la vie.

Je venais de me rendre compte que je m’adressais à elle sans l’ombre d’une hésitation comme si je savais qu’elle allait devenir quelqu’un qui m’aiderais, mais à quoi, je ne sais pas.

L'Elfe tremblait de tout ses membres. Eleana ne comprenait pas pourquoi, mais elle respectait la peur qu'éprouvait sans doute la jeune femme dûe à cette agression soudaine. Elle assura avec peine qu'elle allait bien. Ce que ne doutait pas du tout sa sauveuse.

Puis, précipitement, d'un seul coup, elle prit ses jambes à son cou et se sauva. Laissant la jeune Filante immobile et étonnée. Qu'est-ce qui lui prenait de s'enfuir comme ça ? C'était lâche et stupide. Pff, sa m'apprendra à me montrer raisonnable, se dit-elle, amérement. Elle shoutta dans un callou qui heurta le mur de briques. Elle soupira. Des picotements se faisaient ressentir. Son esprit la suppliait de la suivre, car sa curiosité l'emportait. Son corps tremblait, désirant plonger dans le feu de l'action. Il avait besoin d'adrénaline. Mais sa conscience l'en empêchait. Ce n'était pas son genre de faire ça. Et puis, merde quoi. Elle s'enfuyait, c'était son problème. Pas le sien.

Alors qu'elle allait faire demi-tour, elle se stoppa. Avec un soupire las, elle roula des yeux. Foutue curiosité, pensa-t-elle aussitôt.

Puisant dans sa rapidité de Filante, elle traça. Se servant de ses sens, elle repéra la route qu'avait empruntée l'elfe.

Lorsqu'elle fut à sa hauteur, elle calma la cadence et se retrouva face à la jeune femme qui la fixait, visiblement agacée. Agacée ? C'était plutôt à elle d'être agacée !

-Pourquoi m’as-tu suivie ? Tu ne me dois rien. C’est moi qui te remercie de m’avoir sauvé la vie.

Eleana ne put s'empêcher de relever.

-Drôle de façon de remercier quelqu'un qui vient de vous sauver la vie.

HRP : Déso, pas d'inspi.

La jeune femme me regarda et dis :

- Drôle de façon de remercier quelqu’un qui vient de vous sauver la vie.

Je la regarda plus attentivement et lui dis :

- Et bien puisque je vous dois la vie puis-je connaître le nom de ma sauveuse ?

Je sortais souvent cette phrase c’est dernier temps, enfin demander qui était la personne que je rencontrais pas de remercier quelqu’un parce que je sais très bien me battre quand je me bat contre quelqu’un d’aussi fort que moi. Enfin bref, je la regardais et essayais de déceler un points faible ou autre chose pour m’échapper parce que je voulais partir je ne me sentais pas bien du tout vus que l’odeur du sang avait été emporté par un vent qui provenait de je ne sais où. Je cherchais une issus mais on était sur une place et le trop était trop long pour que je puisse m’échapper par là. Quand ma main passa sur l’un des poignards que j’avais à ma ceinture une pensa me traversa l’esprit : « Que je suis bête ! Je vais lancer ce poignard vers elle mais sans la blesser. ».

Je pris le poignard de ma main droite en faisant le plus discrètement possible et le lança en sa direction, j’en profita pour courir vers le toit le plus proche et sauta dessus. Je me mi a courir et me cacha derrière une cheminé pour essaie de la semer une bonne fois pour tout ! Et quand elle sera partie je descendrais pour récupérer mon poignard. Je regardai vers la place et je la vis prendre des dagues. Je pensa alors : « je suis dans la moisie jusqu’aux genoux ! ». Bon si elle m’attaque je n’aurais plus le choix, je vais devoir me battre contre elle mais elle a l’air assez forte. « Je vais me faire tuer à la fin moi ! Faut que j’arrête… un peu de chercher la bagarre à tout bout de champs ! ». Je me foutais des gifles mentales parce que si je comptais toute les connerie que j’avais faite bah…il y en aurait plein ! Je réfléchissais à un moyen de partir de ce village pour semer la fille mais je ne trouvais aucune idée assez bien. Je commençais à avoir peur. « Moi peur ? Non impossible ! Tu te fais du souci pour rien ma vieille ! ». Je secouais la tête pour chasser c’est mauvaise penser mais rien n’a faire je tremblais plus que jamais et j’avais les mains moite. J’avais aussi peur que ce jour. Je commençais à me lever mais au moment ou je me mis debout sur mes jambes je glissa du toit a cause d’une tuile mal fixer. Je glissais vers le bas du toit et j’allais m’écraser sur le sol. Au dernier moment je me rattrapai à la gouttière. J’étais maintenant suspendu à la gouttière qui faisait de drôle de bruits, si je ne remontais pas j’allais tomber et de hauts.

La jeune elfe me détailla davantage avant de déclarer :

　

- Et bien puisque je vous dois la vie puis-je connaître le nom de ma sauveuse ?

　

Eleana ne répondit pas. Elle avait capté un mouvement. Délicat et silencieux, mais bien distinct. Mais c'était sans compter la rapidité et l'efficacité des elfes. Cette dernière me lança un poignard qu'elle esquiva en se combrant, suivi d'une roulade. Le temps qu'elle se remette sur ses pieds, la fille s'était enfuie. Eleana en resta coite. Mais bon sang qu'est-ce qui lui prennait à l'autre ? Elle l'avait aidé et elle, pour seule remerciement, elle se tire ! Non mais quel toupet ! Un seul mot survenait à l'esprit de la jeune femme brune : Lâche. Et légèrement stupide aussi. Oui, s'attaquer à une Filante était risqué. Très risqué. Et les gens qui s'y sont osés ne sont plus de ce monde maintenant pour en témoigner. Mais les blessures sur les corps le prouvaient clairement. Bon, même si la Filante n'était pas une pûre, elle avait tout de même hérité des traits de cette race. Et nombreux étaient-ils. Donc, sans regrêt, elle sortit ses deux dagues. Délicatement et précautieusement, les lames furent à l'air libre. Certes, elle aurait pu laisser tomber. Après tout, elle en avait rien à faire de cette fille. Mais son comportement l'interloquait. Et de plus, elle était piquée au vif. Son attaque de jet l'avait décidé à répondre à cette menace. Cela ne pouvait en être autrement.

D'un geste rageux, elle shoota dans l'arme à terre qui recula jusqu'à une bouche d'égoût d'où elle tomba. Un éclat d'eau l'alerta que le poignard avait fait un petit plouf. Mais la jeune femme s'en fichait royalement. Une seule chose l'importait : Retrouver cette insolente. Et c'est presque aussitôt qu'un cri haut perché retentit, la surprenant. Elle leva la tête en se retournant, la fameuse elfe faisait une effroyable chute dans la vide ... où la douleur l'attendait. Voir carrément la mort. D'uu mouvement instinctif, elle leva ses bras vers le ciel, paumes ouvertes, ses yeux se teintèrent de blanc orageux grâce à son union avec l'Air. Elle ordonna au vent de resceptionner la victime et de la porter doucement vers le sol. Ce qu'il fit. Bientôt la jeune femme s'étala sur le sol, à bout de souffle. Eleana, interloquée par son comportement défensif, réagit aussitôt. Elle bondit auprès d'elle et l'immobilisa avec ses deux bras, l'un d'eux étouffant son cou. Son visage impassible et ses yeux gris reprenant une teinte gris intimidante réapparurent. La rendant effrayante.

-Maintenant, écoute moi bien ... J'en ai marre de jouer au chat et à la souris. Soit tu déballes ce qui te prend soit je te tue, c'est clair et simple. A toi de voir si tu veux qu'on fasse à la manière forte ou la manière douce.

Eller avait parlé sur un ton neutre, impassible, comme si l'idée de la tuer ne la dégoûtait pas. Et c'était bien le cas. Elle se savait capable de provoquer sa mort sans hésitation. A sa future/ex victime de choisir quel choix se présentait pour elle ...

Je ne tenais plus. Mes mains glissaient et la gouttière allait lâcher à tout moments. D’un coup je lâcha pris et commença une décente vertigineuse vers la mort. Je hurlais à en devenir aphone. Quand d’un coup je sentis quelque chose me porter vers le sol avec une douceur sans nom. Je me retrouvai parterre, étaler sur le sol à bout de souffle. Je ne vis pas arriver ma « sauveuse » qui m’enserra la gorge d’une main et de l’autre me tenais un bras. Elle pris un ton neutre, impassible et me dit :

-Maintenant, écoute moi bien… J’en ai marre de joué au chat et à la souris. Soit tu déballes ce qui te prend soit je te tue, c’est clair et simple. A toi de voir si tu veux qu’on fasse à la manière forte ou la manière douce.

Je la regardais avec de grands yeux. Je pensai alors « Mais comment parler avec quelqu’un qui vous étrangle a moitié ! ». J’essayai du mieux que je pouvais d’articuler quelques mots :

- Je suis partis… à cause du sang… ça réveille en moi une envie de tuer… Pourrais-je respirer ?

Je la regardais dans les yeux et pour une fois n’avais pas mentie. Elle desserra un peu mais garda ça main sur mon cou. Je regardais c’est yeux d’un gris tempête si jolie. Je lui demandai alors avec un ton calme :

-Si ça ne te dérange pas tu pourrais me lâcher ? Je ne partirais pas cette fois ci. Au faite je m’appelle Nunnally. Je suis désolé de t’avoir… mis en colère.

Je la regardais toujours et baissa les yeux sur ça main qui me tenait la gorge. Elle la desserra et la retira mais ne me lâcha pas la main pour autant. Je glissai le long du mur ou j’étais adossé et m’assit en regardant dans le vide. La jeune fille, entraîné, se retrouva assise à côté de moi. Je ne voulais pas lui parler, je ne voulais pas tissé de liens d’amitié mais je ne savais pas pourquoi, quelque chose en moi me disais de lui faire confiance. Je tournai la tête vers elle et elle observait quelque chose dans le vide. Je lui posai une question :

- Et tu t’appelles comment ?

J’attendis ça réponse. Et ces minutes me parure une éternité.