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Fiche de présentation Gabrielle Atalante Sal Thesna IMAGE Nom : Sal Thesna Prénom : Gabrielle et comme deuxième prénom, Atalante Age : 17 564 ans Sexe : Féminin ♀ Race : Vampire Elément : Lumière Type : Mage Alliance : Necrosoris _________ Ton Puff : Saphira, Saph', Fajitas Ta présence sur ce forum : Active ♫ Impression du forum : Si elle n'était pas bonne, je ne posterais pas ce sujet ! Comment nous as tu connu : Azur Autre : Vive mwa ! //PAN//

Description physique
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Le premier mot pour la décrire sera féline. Assez grande, du haut de ses cent soixante quinze centimètres, avec ses joues roses (et admirablement épaisses) qui détonent sur sa peau blafarde, elle fait…jeune. Certes, elle l’est. Mais à dix sept milles ans, on peut supposer un visage plus mature. Et non ! Une vraie gamine, une figure juvénile et des expressions tendres. Mais c’est trompeur…en faite, elle n’a pas les cheveux sombres comme la plupart des vampires mais une belle crinière rousse. Elle les aimait beaucoup, ces boucles rousses. De longues jambes, des hanches contrastant légèrement par rapport à sa taille fine, un buste généreux. Ses mains possèdent de longs doigts fins, dressé à l’art de voler sans que l’on s’en aperçoive. Peau tendre, toucher de velours qui ne vous laisse qu’une sensation d’égarement, un charme renforcé par son air enfantin. Son sourire n’en ai pas vraiment un ; c’est un redressement de ses lèvres douces. Ce sont ses yeux verts et dorés qui sourient, comme un regard fugace qui vous pénètre et vous ensorcelle. Bon, vu comme ça, elle est jolie…non, mignonne plutôt. Mais ce n’est certainement pas la plus belle. Pas assez de …poumons, une taille pas assez fine, et des mains trop grandes…on trouve facilement mieux, mais elle n’est pas trop mal.

Description du caractère
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Âme innocente, elle est née sans plaisir particulier pour tuer – comme n’importe quelle autre bambin. Mais sa famille était partisane des Laneus. On connaît la suite. Elle est donc dès son plus jeune âge devenu une froide machine à tuer. Pourtant, ni sa curiosité infantile et sa soif d’amitié ne s’éteignirent. Avec le temps, elle développa même une spontanéité et une maturité indésirable. Ses parents avaient voulus une asservie, ils avaient une rebelle. Elle n’avait pas le goût de tuer et de torturer, mais ça ne la gênait pas plus que ça. Elle est devenue particulière. Exubérante, révolutionnaire. Elle avait une vision autre des choses, cherchaient désespérément un moyen de l’exprimer. Elle réussi à se faire des amis, en gagna la loyauté par un comportement autoritaire – presque tyrannique, à vrai dire - et une certaine capacité à faire les bons choix. Elle ne rechignait pas à se faire remarquer, sans apprécier le conflit pour autant. Elle possédait une sorte de détachement de tout ; pas grand-chose l’embêtait, et pas grand-chose lui plaisait. En faite, de nature flemmarde, elle préférait se la couler douce dans un fauteuil plutôt que de jouer les oratrices flamboyantes. Mais elle aimait trop ce rôle pour le laisser tomber et rapidement, les critiques acerbes de sa famille fusèrent. Elle en fut profondément blessée, bien qu’elle ait toujours su que ses proches ne l’approuvaient pas. Elle se referma un peu sur elle-même et peu de gens sont vraiment ses amis, à présent. Elle reste la flamboyante Gabrielle de la foule mais plus la joyeuse jeune fille : elle est s’est refroidi et il lui arrive de réfléchir avant de parler. Elle ne regrette jamais rien, elle paye toujours ses dettes et à une mémoire d’éléphant qui lui permet de se souvenir très précisément des contrats, des promesses, et de tout ce qui inclut l’argent – car oui, madame, non seulement, est susceptible, mais en plus, un brin avare et cupide ! Bref, elle peut être sympathique quand elle veut, mais elle s’enflamme vite.

Ses goûts
Ce qu'il aime et ce qu'il n'aime pas

Elle aime l’escrime – et elle y est douée. Le lancer est aussi une de ses passions, tout comme le tire à l’arc…bref, tout ce qui requiert un truc pointu et bien affûté, elle aime. Elle est moins fan du poison, arme des faibles selon elle, perdue dans une notion d’honneur naïve, car c’est le poison qui gère nos vies, à présent. Elle ment bien, mais n’en tire aucune fierté, à part celle de pouvoir faire ce qu’elle veut quand elle le veut. Le problème, c’est qu’elle se croit au-dessus de tout dans ces moments là et qu’on peut vite la trouver vantarde. Elle est un peu trop susceptible, également, et tellement curieuse que c’en ai vraiment chiant. Elle est également tolérante et se fiche absolument du passé des gens.

Histoire
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Un jour, comme tant d’autre, elle est née. Elevée dans l’ombre de Lune d’Azur que ses parents déclaraient être un véritable modèle tout en la détestant secrètement car c’était elle qui portait le titre de Laneus, elle ne comprit pas pourquoi on lui refusait sa personnalité et fini par en avoir assez. Comme tout enfant, elle fit sa crise d’adolescence. Portes qui claquent, insultes, parents qui s’échinent à se faire obéir par des menaces inutiles, plus que vaines…leur maison n’était plus qu’un vaste champ de bataille. De plus, tout s’aggrava lorsqu’on découvrit qu’elle maîtrisait la lumière à la place de l’ombre, ombre, l’élément de sa famille. Ses proches ne le supportèrent pas et la vie de la jeune vampire devient tout simplement infernale. Elle fini par fuguer, se réfugiant chez un oncle reclus, qui comme elle, arborait des boucles rousses – ternies par l’âge, certes – et qui comme elle c’était fait rejeter à cause de son élément, la lumière. Elle fut son apprentie et il lui apprit tout, avant de décéder dans d’atroces souffrances d’une malédiction lancée par un membre des Sal Thesna. Folle de rage, devenue riche héritière grâce au testament de son oncle, elle se vengea, abattant cette personne, sa mère, celle qui lui avait donné la vie. Elle la saigna à blanc, à l’âge de seize mille ans à peine et déclara qu’elle ne voulait plus rien à voir avec eux. Effrayé par sa sauvagerie, ils détruirent tout ce qui avait un quelconque rapport avec elle. Elle en fut encore blessé et pendant un an, se retira dans la villa de son oncle, réfléchissant à que faire. Elle se vendit ensuite comme une tueuse à gage. On ne la retrouvait jamais, mais la victime savait toujours qui l’envoyait avant de mourir. Grâce à ce travail peu honorable, elle s’assure une certaine vie, et les domestiques de la villa de son oncle ne s’occupaient pas d’elle mais uniquement de la maison. Elle vivait en solitaire et n’éprouvait plus le besoin de compagnie, un éternel éclat de nostalgie brillant dans son regard mort, celui d’une Nécrosoris. Elle ne regrette rien, mais les temps passés lui manquent. Gabrielle a tourné la page, mais ne peut pas s’empêcher de penser qu’elle porte la responsabilité de la mort de cet homme qui fut comme un père pour elle.