Vamos a la playa ♫ [Pv Laurena]

Amaya souriait… Pourquoi ? Elle n’en avait aucune idée. Peut-être que la vue de la mer par ce doux coucher de soleil l’émerveillait ? Peut-être. Peut-être pas. Le ciel était teinté d’orangé, et les oiseaux de la mer volaient en altitude, sans aucun bruit. Les nuages avaient rendez-vous ailleurs, et le ciel était beau, unique. L’écume trouble qui se formait sur le rivage rendait le paysage déjà magnifique encore plus magnifique, cela semblait irréel. Amaya était déjà venue ici, et elle savait déjà à quoi ressemblait le spectacle, mais chaque fois, un nouveau détail faisait qu’elle trouvait ça encore plus magnifique que la dernière fois. Cette fois, le nouveau détail, c’était les vagues plus petites que d’habitudes, de couleur orangée. Amaya le repensa : c’était magnifique… Amaya marchait doucement, posant ses pieds sur le sable fin, sentait les petits grains de sable lui traverser les orteils doucement, presque comme une caresse… Les yeux d’Amaya vagabondaient entre la mer et le ciel, lorsqu’elle aperçut une ombre plus loin. Etait-ce une ombre humaine ? Amaya pressa le pas, et las silhouette se découpa. C’était bien une ombre humain, c’était même une filante… L’elfe sourit, elle aimait beaucoup les filantes, en général, elles avaient un grand sens de l’humour ! La filante était assise dans le sable et semblait en grande conversation avec un de ces animaux marins… Une conversation silencieuse, par les yeux. Amaya commença à s’approcher, sourit, et lorsqu’elle fut proche dit :

- Bonsoir !

J'étais alongée sur la plage, non loin de quelques rochers. J'aime venir ici pour le calme de la mer d'Azur que peu de personnes veulent bien croire. En effet : tout les jours, des centaines de touristes viennent sur la plage même ou je me trouve en ce moment. Tout est plaisant ici : le temps, la vue, la chaleur, les animaux marins ... Mais pour l'instant, il n'y a que moi ici. Les ouristent étaient retournés depuis longtemps

Le sable était chaud à cause de la journée caniculaire qui venait de passer. Mes pieds se faisait recouvir d'eau suivant le flux et le reflux des vagues. Au loin, dans cette si belle mer, l'on pouvait apercevoir la vie qui battait toujours son plein : Des dizaines de poissons nageaient lentement dans l'eau transparente, un couple de dauphins jouaient les acrobates aériens en faisant une séie de saut hors de l'eau, et plus rares mais non inexistant, une ou deux tortues marines se laissaient portées par le courrant. Au dessus de ma tête, des dizaines de mouettes faisaient leur ronde quotidienne cherchant de quoi se mettre sous la dent (malgé qu'elles n'en possèdent aucune).

Je fermai les yeux. Le bruit incessant des vague s'écrasant sur le rivage envahis mes oreilles. Je fus tirée de mes rêveries par un bruit étrangement proche qui provenait de la mer. j'ouvris les yeux. Je fus très surprise en voyant, juste en dessous de mes pieds, un dauphin. Ul ndauphin qui me regardait avec son espèce de sourire que tout les membres de son espèce possèdent. Je ne cherchai pas à le faire fuir. Un peu de compagnie me ferait du bien ! Mais pourquoi est-il là ? Les dauphins à l'état sauvage s'approchent rarement des hommes. Je regardai autour de moi et je vis, juste à coté de ma cuisse gauche, un poisson à moitié dévoré (par les mouettes je suppose). Je le pris en main et je regardai le dauphin. Il s'agita brusquement. Je lui lançai la sardine (ou, du moins, ce qu'il en reste) et l'animal l'avala en une seule bouchée puis il disparu. Moi qui était si contente d'avoir de la compagnie ... Je me levai et je voulus partir mais un denier regard vers la mer me fis changer d'avis : Le dauphin était toujours là ! Je regardai autour de moi pour surveiller que je n'étais pas observée. Je me rassis près du mammifère qui me regardait toujours. ca devait un animal dressé. Mais dressé par qui ??? Je regardai à coté de moi pour vérifier qu'il n'y avit pas d'autres sardines. Non, il n'y avait effectivement rien ! Je me retournai vers l'animal. J'obsrevai longtemps ses yeux noirs. On auraait dit qu'il voulait me transmettre un message or c'est scientifiquement impossible ! Mais je me pis à son jeu. Pourquoi tu es là ? Tu as une famille ? Moi, je n'en ai plus ... Alors, si tu en a une, va la rejoindre et profites-en ! Chaque moment est unique et il ne faut perdre aucune seconde de la vie temps que tu en a une ... Les larmes me vinrent aux yeux quand je repensai à mes parents décédés.

- Bonsoir !
Je me levai busquement, surprise par la présence d'une autre personne. Le dauphin plongea aussitôt et nagea vers le large. Je sortis ma dague à une vitesse fénoménale et je me mis en position de combat. Une jeune fille assez grande se tenait devant moi. Une elfe ! Comment ne pas la reconnaitre avec ses longues oreilles et sa beauté légendaire. Je n'affichais pas un air agressif mais plutôt surpris. Très surpris.
- Que ... Qui ... Qui est tu ?
Je m'éforçai de reprendre de mon calme. je ne sais pas qui elle est ni ce qu'elle veut. la méfiance la plus totale est de mise. Quoi que ... Si ses intentions étaient mauvaises, elle m'aurait déjà planté un couteau dans le dos.
D'un ton plus agressif, je reposai ma question :
- Qui est tu t qu'est ce que tu fais là ?
Comme tout le monde le sais, les elfes font partis de l'alliance Eternial et donc d'une alliance différente de la mienne. Ce qui veut dire qu'elle est potntiellement dangereuse. Mes actions vont maintenant dépendre de sa réaction ...

Amaya répondit tranquillement à la question de la filante, à deux doigts d’éclater de rire :

- « Pour répondre à votre première question, je m’appelle Amaya d’Al Haliona. et je suis enchanté de faire votre connaissance. Puis-je savoir votre nom ? Enfin, pour répondre à votre seconde question, je ne sais pas vraiment… La même chose que vous j’imagine –sauf si vous êtes à la recherche d’une quelconque espèce disparue depuis plus de mille ans dont la description est différente suivant les légendes-, souri Amaya, je marche sans but précis… A vrai dire, je n’aime pas vraiment ma terre natale, je suis plutôt vaga… »

Amaya se boucha la bouche avec les mains… Tant qu’à faire, elle pouvait carrément lui raconter toute sa vie, d’où elle venait, qui était ses parents, son alliance, son grade… De plus, la filante n’avait pas l’air vraiment très… comment dire… sympathique… C’était l’une des premières fois de sa vie où Amaya n’était vraiment pas d’humeur à rire… C’est vous dire ! Les yeux de la filante étaient inexpressifs, et la seule chose que l’elfe put lire dans ces iris fut : « Rien. »
Rien ? Rien ! Rien… Rien. Le néant. Vous me direz : Pourquoi tu chipotes pour dire « Rien » cinq fois ? Parce que rien ne se lisait dans ces yeux. Il faut bien insister ! Et puis, on ne sait jamais, peut-être quelqu’un d’attardé lira ce post, et au moins il comprendra qu’il n’y a RIEN dans ces yeux ! De l’inexpressivité ! Bref, revenons à nos deux personnages, qui doivent sûrement s’impatienter le temps que je vous raconte qu’il n’y avait RIEN dans ces yeux.
Donc nous en étions au moment où Amaya avait gentiment raconté sa vie à quelqu’un qu’elle ne connaissait pas, qui était d’une autre alliance, et qu’elle l’avait sans aucunement réfléchir –Je sens que je vais me prendre une raclée à la sortie moi…- révéler ce qu’elle n’aurait jamais dû révéler –Oui je sais je me répète-. Bref. L’elfe pas-douée pensant avoir fait assez de bêtise –Et je suis totalement d’accord avec elle-, elle préféra se retourner et essayer de mettre le plus de distance entre elle et la filante.
-En tant que narrateur, j’avouerais que j’approuvais totalement cette décision, même si, ayant un statut de narrateur omniscient, je savais ce qui allait à peu près se passer après, quoique, mon statut de narrateur omniscient ne se valait que d’un côté, celui d’Amaya, et je ne peux donc pas lire dans les pensées de la Filante. Enfin un tout petit peu. Je ne suis pas encore très avancé dans les cours de narrateur (Je suis à ma troisième année d’apprentissage) donc je sais son nom, et quelques pensées très légères… Bref, nous ne sommes pas ici pour parler de mon apprentissage (J’en ai bien assez comme ça), mais pour parler de... heu… Amaya ! Oui c’est ça. Donc, je disais qu’Amaya avait rebroussé chemin, et qu’elle avait bien fait, même si cette action ne durerait pas trop longtemps… Bref. Je ne suis pas là pour vous raconter la suite, mais plutôt ce qui se passe maintenant.
Ce n’est plus mon tour, je passe la main à Laure… la filante je veux dire.

- Pour répondre à votre première question, je m’appelle Amaya d’Al Haliona. et je suis enchanté de faire votre connaissance. Puis-je savoir votre nom ? Enfin, pour répondre à votre seconde question, je ne sais pas vraiment… La même chose que vous j’imagine –sauf si vous êtes à la recherche d’une quelconque espèce disparue depuis plus de mille ans dont la description est différente suivant les légendes-, souri Amaya, je marche sans but précis… A vrai dire, je n’aime pas vraiment ma terre natale, je suis plutôt vaga…

Je voulus éclater de rire. Amaya, la fille qui raconte sa vie à une inconnue. Mais bon, à part ca, je ne vois pas ce qui a de drole. Je restait impassible. Je n'avais pas envie de faire comme elle, de dire tous sur ma vie. D'ailleur, je ne lui dirai rien. Même pas mon nom. Elle a gaché un des seuls moment ou je pouvais être tranquille. Mais malgré cela, je ne vais pas lui trancher la gorge. Je restai sur mes gardes. Je voulais qu'elle s'en aille. Ou peut-être devrais-je partir ? Mais avant que je puisse faire quoi que ce soit, l'elfe se retourna et partit. Je rangeai ma dague, pêrplexe. Elle m'a dit tout ca pour finalement qu'elle parte ! Je me retournai vers la mer. Je voulus m'assoir, revasser ... Mais cette fille m'intriguait ... Je secouai la tête pour la chasser de mo esprit mais rien à faire. Je me tournai la tête en direction de l'elfe. Elle était à plus ou moins 200 mètres. Je soupirai et je la rejoignis en une seconde (étant une Filante ...) Je me postai devant elle et l'arrêtai en tendant ma main dans sa direction (on croirait un policier en train de faire la circulation, c'est pitoyable ...) Je la regardais et elle fesait de même. Je pris enfin la parole :
- Ou est-ce que tu vas comme ca ? Au fait, je me nomme Laurena.
Je sais, je sais, ca aussi c'est pitoyable mais qu'est ce que j'aurais pu lui dire d'autre ? "Salut. Je sais pas pourquoi mais j'ai envie que tu restes pres de moi" Et puis quoi d'autre, invite la à prendre un café pendant que tu y es ! J'étais fachée contre moi-même. fachée d'avoir rattrapé cette fille un peu trop bavarde à mon gout. Mais je n'en fis rien paraître. Je me contentai juste de montrer un petit sourire en coin à l'encontre de la jeune fille.
Et puis, qu'est ce qu'elle est sencée répondre ? Je laissai retomber ma main le long de mon corps et je regardai la mer. Elle était parfaitement calme. Mais il y avait un détail qui me gênait. Un amat de bulles à un quinzaine de mètres de la rive. Qu'est ce que c'est ? je n'ai jamais vu ca avant. Je voulus retourner la tête vers l'elfe mais je n'arrivait pas à détacher mon regard de ces bulles. c'est alors que deux énormes yeux sortirent de l'eau. On voyait le dessus d'une tête de ... de quoi au fait ? On dirait presque un crocodile mais c'est impossible. Primo, il n'y a pas de crocodiles dans la mer d'azur et deuxio, c'ezst dix fois plus gros qu'un crocodile ! Je crois que l'elfe me parlait mais je n'écoutais rien. La créature nous fixait, comme si elle attendait quelque chose ...

Amaya avait vraiment voulut mettre le plus de distance avec l’étrangère, afin d’empêcher que les informations divulguées deviennent encore plus difficiles à rattraper. Seulement, la filante, enfin, Laurena –je peux le dire maintenant- avait rattrapé Amaya –je vous l’avais dit, une rencontre comme celle-ci ne peut pas se terminer aussi vite-.
La filante s’était visiblement permise de la tutoyer… Bon signe ou mauvais signe ? Lui faisait-elle confiance ou se sentait-elle supérieure ? La première solution était plus inenvisageable, et la deuxième solution semblait plutôt convenir à une jeune femme d’un tempérament tel que Laurena –Je plussoie-.
-Je tiens à préciser pour les attardés (J’adore ce mot), que je suis le narrateur, ce que vous lisez sont les pensées d’Amaya, légèrement enjolivées par moi, c’est-à-dire le narrateur, troisième année de l’école de narration. Les commentaires entre tirets sont les miens… En même temps, il y a certaines actions d’Amaya qui méritent sérieusement des commentaires… Je me permet une petite pause dans ce récit, en plus les actions qui se passent sont lentes et difficiles… Personnellement, j’ai beaucoup de travail à retranscrire les pensées d’Amaya, mais là, Amaya ne pense pas beaucoup, voire pas du tout… Ah si c’est vrai elle répète « Qu’est-ce que je suis idiote… Qu’est-ce que je suis idiote… Qu’est-ce que je suis idiote… » en boucle… Je vous passerais donc ça, et je fais mon petit monologue en attendant que l’action se pointe.-
Enfin bref passons, et revenons à nos deux protagonistes, qui, je le rappelle, viennent de se rencontrer sur la plage de la mer d’Azur, Amaya avait fait des conne… -Voyons Amaya !- des bêtises –Encore !- en racontant sa vie à un filante quelque peu défensive.
Laurena avait donné son nom, et c’était une bonne chose. La jolie jeune elfe avait décidé de répondre à la question de la filante, en faisant plus attention cette fois –Ce n’est pas trop tôt !- :

- « Je pars. Loin. »

Une réponse très claire, indigne d’Amaya. Un détail dérangea l’elfe. Alors qu’elle regardait Laurena, cette dernière tournait la tête. Sympa… L’humour regagna Amaya, et celle-ci vérifia si son interlocutrice ne la regardait effectivement pas. Elle fit des grimaces –Très élégant…-, tira la langue, en silence.
Ses tests se révélaient positifs, et cela agaça Amaya. Elle se racla la gorge, mais toujours aucune réponse de la filante. L’elfe prit l’initiative de prendre la parole :

- « Excu… »

Avant de terminer sa phrase, Amaya décida –Enfin !- de regarder dans la direction des yeux de la filante.
Une espèce de bestiole énorme à écailles vertes sortait lentement de l’eau. Génial… De plus, la jolie jeune elfe avait décidé de ne pas prendre ses armes, la mer d’Azur ayant réputation d’être relativement calme. Mauvaise idée…
La seule solution était d’invoquer le pouvoir de la lumière. Devant quelqu’un qu’elle ne connaissait pas mais qui savait déjà beaucoup de choses sur elle qu’elle n’était pas sensée savoir –Désolé, c’est confus ; mais aller voir dans l’esprit d’Amaya, c’est pire que ça…- . Bon bah tant pis…
Les mains d’Amaya s’illuminèrent alors…

Loesque je vis l'elfe tirer une boule de lumière sur la créature, je tappai ma main sur mon front. Pourquoi a-t-elle fait ça ? Il nous aurait suffi de quitter la plage doucement et de laisse ce monstre marin vivre sa vie de onstre marin ! Le monstre hurla et sortit hors de l'eau. Il était immense. Il devait faire plus de dix mètres de haut. Et ça, rien que pour son cou et sa tête. Il possédait deux longues moustaches, qui doivent lui servir pour se repérer dans les abisses. Il possédait des écailles vertes presque transparentes qui luisaient au soleil. En tout cas, je svais deux choses : Premièrement : la dénommée Amay est élémentaire de lumière tout comme moi. Ce qui n'est pas très utile ... Deuxièmement : ce monstre est furieux contre nous et il vaut mieux quitter la plage ... et vite !!! Je pris la main de l'elfe et je la regardai. Je lui lançai un regard noir qui voulait dire "C'est malin ! J'espère que tu n'en as pas d'autres des idées comme ça ...". Mes pouvoirs me permettraient de quzitter la plage en moins d'une seconde mais je ne peux pas abandonner Amaya (bien qu'elle le métriterait ...) Je courus le plus lentement possible pour que l'elfe puisse me suivre. Car il n'est pas question d'affronter une bestiole pareille ! Aussitôt eus-je terminé de le penser que le monstre abatti sa queue (oui, j'ai oublié de préciser qu'il en avait une ^^"), nous barrant la route. Sa queue devait faire une dizaine de mètres aussi et plus de sept mètres d'envergure. Je regardai sur le côté, cherchant un moyen de contourner l'obstacle. Mais un mur de roche nous emp^chait toute tentative de contournement ....
- Suis moi ...
Je lâchai la main de mon "amie" (car après ce qu'elle vient de faire, je ne suis pas sur de vouloir la revoir un jour) et reculai de quelques ètres. Ensuite, allant à la vitesse de l'éclair, je me précipitai vers la queue du monstres et je sautai au dernier moment. Des paillettes dorées jaillirent de mes mains, me permettant de sauter plus haut. J'atteris lourdement de l'autre côté. Par contre, je n'avais pas pensé à une chose. Le monstre avait un cerveau lui aussi et celà m'étonnerait qu'il laisse passer Amaya. Surtout qu'elle ne possède pas la même rapidité que moi. Le monstre se retourna vers moi mais ne bougea pas sa queue pour autant. Il sembla prendre une grande inspiration puis cracha un jet d'eau puissant comme cinquante tuyaux à incendie réunis. Bref, de quoi vous plaquer au sol en un centième de secondes et on a de la chance si on s'en sort ... Je l'escivai grace à mes pouvoirs de Filante. Ainsi, cette créature est donc une sorte de dragon marin ! Ca n'arrange pas les choses ... Biensur, j'en ai un aussi de dragon mais pas aussi volumineux que celui-là. Il ressemble à un chaton comparé à ce monstre ... Le dragon retenta plusieurs fois de m'avoir mais j'escivais ses attaques à chaque fois. Après quelues instants, il laissa tomber et se concentra sur Amaya. Amaya ! mais que fait-elle encore de l'autre côté de la queue du dragon ?