Je n'étais jamais venue dans ce magnifique pays qu'est Erténot. Quel dommage que je ne sois pas venue plus tôt.Les paysages sont magnifiques et les habitants semblent très sympas. "Semble". Je n'ai pas pu leur parler. Je n'ai même pas pu me montrer à eux librement. Ce serait beaucoup trop dangereux avec les Nécrosoris qui surveillent sans cesse les quartiers. Alors je me cachais dans les rues sombres de la grande ville. J'attendais patiemment quelqu'un. Une autre résistante. On ne m'avait pas dit de qui il s'agissait. On m'avai simplement dit : " Une autre personne te rejoindra au croisement de rue indiqué sur la carte. Elle t'aidera si les choses tournent mal". Javais eu beau m'insurger contre cette décision, la décision des chefs des résistants ne changerait pas. Ils avaient juste ajouté "Sois gentille avec elle. C'est une nouvelle, qui vient juste de rejoindre la résistance. Alors fais un effort ..." Et j'ai du accepter cette mission à contre coeur. Mais maintenant que je suis sur le terrain, je commence à avoir peur. Peur que les Nécrosoris me découvrent. Et la simple présence de mon coéquipier me ferra du bien. Si cette personne veut bien venir !!! Je sortis de ma poche une carte au dot duquel était inscrit mes instructions et et les quelques renseignements qui me seraient utiles : Matt Kuraï. Animux renard. Rue de la forêt brumeuse n°5. Objectif : le ralier à la cause des résistants. Matt Kuraï. Ce nom ne me disait rien. Je ne connaissais pas cet homme et je devais m'en faire un allier. Je ne savais pas comment m'y prendre pour qu'il devienne Résistant. J'espère que mon coéquipier sera plus inspiré que moi ... Et puis au pire, on improvisera !

Je me cachai dans ma cape lorsqu'un homme passa devant moi. Un capuchon cachait mes yeux bleu qui suivaient l'inconnu en me demandant "Est-ce lui mon partenaire ? N m'aurait-il pas vu?". Mais je ne bougeai pas. Il continua sa route et retourna dans les quartiers plus fréquentables de la ville. Un bruit derrière moi me fit sursautai et je me retournai rapidement. Par réflexe, je posai ma main sur ma dague, soigneusement cachée dans son fourreau sous les plis de ma cape verte émeraude. Ce serait ma seule arme pour cette mission. En effet, j'avais du laisser l'arc de Kaël au campement. Ce serai trop facile de me repérée avec une arme aussi peu discrète.
La personne qui se trouvait devant moi me toisait du regard. Dans ses yeux, je voyais qu'elle se posait la même question que moi : "Est-ce elle ma coéquipière ?"

Je me trouvais à Erténot, la ville où j’habitais depuis 3 ans maintenant. Une ville très belle qui offrait des cachettes bien pratique quand l’on voulais effectuer un vol. quand on est voleur mieux faut bien connaître ça ville. Surtout connaître les maisons ou les lieux fréquentés où le vol se fait discrets. Et que les passant ce rends compte du vol en arrivant cher eux ou quand je suis déjà loin d’eux.
Je faisais donc le tour des maisons pour faire quelque petit vol. Comme d’habitude je me faufil entre les rues les plus sombres habillé d’une cape noir à capuche de façon à dissimuler mes cheveux, trop voyant a mon goût. Je ne faisais pas attention aux passants dans les rues mais une personne avec cape et capuche me suivit du regard. Je ne lui prêta pas attention sauf que à se moment la une deuxième personne arriva. Je continuai ma route jusqu'à un croisement. Je m’arrêtais et espionnais c’est deux inconnus, cacher derrière une pile de boîte, qui devais être étrangers à la ville. Je décidais de me transformer en renard et montais sur les toits.

Je me glissai juste au-dessus des deux inconnus tel une ombre. Je les observai pendant quelque minute puis repris forme humaine. Un ou une, je ne sais pas si ce sont des femmes, personne regarda vers les toits. Je reculais un peu mais pas assez tôt car au dernier moment je croisai un regard bleu. J’arrêtais de bouger et même de respirer. J’attendais. Le ciel était sombre mais les lampadaires avait sûrement fais luire mes yeux. Je me maudis intérieurement. Peut-être m’avais t’on vus ou pas.

Métis voyageait de villages en villages pour vendre des armes qu’elle avait achetées avec l’argent de sa potion. Arrivée dans un village dont lui avait parlé Remucer, elle se dirigea vers une petite boutique, selon les instructions de l’ange. Là, on la fit entrer dans une pièce sombre. Une douleur, puis le trou noir. La jeune humaine se réveilla dans un autre lieu. Des gens parlaient autour d’elle. Quand ils remarquèrent qu’elle était éveillée, les bruits s’arrêtèrent et l’attention sembla être entièrement dirigée vers la jeune sorcière. Le silence se fit, puis une voix s’éleva. Elle semblait s’adresser à la jeune fille :

« Qui es-tu ? Et pourquoi es-tu entrée dans cette pièce ? »

Métis ne savait pas quoi répondre. Elle se sentait un peu révulser d’être ainsi questionner alors que c’était elle qu’on avait ligoté !

« Mon identité ne vous regarde pas. J’aimerais aussi savoir pourquoi je suis attachée ici et pourquoi m’a-t-on frappé »

Un poing vint s’abattre sur sa tempe et elle vit quelques étoiles.

« Voilà qui t’apprendra à ne pas répondre ! »

Des pas se firent alors entendre. Et le silence devint encore plus silencieux. Le nouvel entrant s’exprima, s’adressant certainement à celui qui avait giflé Métis.

« N’as-tu jamais appris qu’il fallait respecter les invités ? Elle pourrait nous être utile… Alors ne la brutalise pas, elle risquerait de nous prendre en grippe malgré ses penchants pour notre cause »

Métis fut alors libérée de ses liens et de la cagoule qui était sur sa tête. Elle ne vit pas pour autant le visage de son nouvel interlocuteur qui était resté dans l’ombre malgré la lumière ambiante.

Serait-il un mage de l’ombre ? Se demanda la jeune fille.

Ce dernier reprit la parole :

« Je ne sais pas si tu sais qui nous sommes, mais quelqu’un nous a parlé de toi en de très bons termes. Il pense que tu pourrais être d’accord avec nous et que tu pourrais nous aider. Tu te nommes Métis Schtujka et tu vends des armes. Tu vivais avant à Méséria avec tes parents mais ces derniers sont maintenant morts. Un étrange incendie a détruit ta maison et ta boutique. Il ne te restait alors plus rien et tu décidas de partir sur les routes. »

Devant le regard interrogateur de Métis, l’inconnu continua :

« Oui, nous savons plusieurs choses sur toi, nous avons mené notre petite enquête. Tu n’es pas complètement Éséphienne et malgré tes pouvoirs de sorcière, tu n’utilises pas de magie. Nous sommes un groupe de rebelles. Nous nous battons contre les actuels dirigeants qui souhaitent détruire les mages de l’ombre et ceux de la lumière. Mais ceci va probablement amener la fin du monde. Comme dit précédemment, nous pensons que tu pourrais nous aider, mais seulement, le veux-tu ? Avant de me donner ta réponse, sache qu’en contrepartie de ton aide, nous pourrons t’enseigner à utiliser ta magie. D’après notre contact, il se pourrait que ce soit une grande source de pouvoir. »

Après que Métis accepta, elle du prêter serment de ne jamais trahir les rebelles et de toujours faire au mieux pour la cause. Puis suivie une semaine de formation à la fin de laquelle on lui posa un tatouage discret en forme de plume. Tous les hauts responsables de la rébellion avaient la capacité de reconnaitre les personnes marquées de ce tatouage.
Après plusieurs semaines sans aucune nouvelle, les membres de la rébellion l’avaient contacté. Après plusieurs semaines à être un agent dormant, voilà qu’on la réveillait et qu’une mission l’attendait. Un simple morceau de papier où trônait un assemblage de lettres qui une fois dans l’ordre donnait : Erténot Satinkäss suivit de quelques chiffres indiquant le lieu exact, l’heure et la date du rendez-vous. Un sorcier rebelle haut gradé avait aussi imprégnait le billet d’un sort elle put alors voir le visage de la personne à contacter, celle qu’elle devrait aider dans une mission commune. Un visage ovale entouré de longs cheveux bruns. Des yeux émeraudes auxquels était assorti un ruban attachant les cheveux.

Métis se rendit au point de rendez-vous, portant les mêmes vêtements qu’à son habitude : un simple haut et un pantalon. Elle trimbalait aussi des armes qu’elle comptait vendre, ou faire semblant de vendre, gardant toujours sur elle sa licence de marchande. Arrivée au point de rendez-vous, elle croisa une jeune fille portant une cape couleur émeraude. Leurs regards se croisèrent et Métis sut que c’était la rebelle qu’elle devait rencontrer. Avant d’avoir pu échanger le moindre mot, un sentiment de danger submergea la jeune sorcière. Grâce à l’entrainement donné par les rebelles et grâce aux pouvoirs découverts lors de celui-ci, Métis put identifier la source du danger : quelqu’un les espionnait, quelqu’un qui se trouvait sur le toit situé derrière elle. La jeune sorcière tenta alors de faire comprendre à celle qui était probablement une autre rebelle ce qui se passait : elle fit plusieurs fois l’aller-retour entre la jeune inconnue et le toit avec ses yeux. Puis elle attendit la réaction de son interlocutrice.

Malgré l'obscurité, je réussis à détailler la personne devant moi. Il s'agissait d'une jeune fille munie de lunettes. A première vue, elle semblait plus ressembler à une secrétaire plutôt qu'à une guerrière, mais les apparences sont parfois trompeuses. Nous restâmes quelques instants à nous regarder. Je ne la quittais pas des yeux, contrairement à elle. Son regard semblait atiré par quelque chose sur le toît du batiment auquel nous nous trouvions. Je levai discrètement les yeux au ciel pour apercevoir deux points scintillants dans l'obscurité. On nous surveillait. Dommage pour lui, je détestais les espions. Si j'avais eu mon arc, je lui aurais décoché une flèche en plein milieu du front. Mais puisque j'ai laissé mon arc au campement, il va falloir trouver autre chose. Je me mordis les lèvres à l'idée de me servir de ma maîtrise de la lumière. Ce serait beaucoup trop risqué avec tous ses Nécrosoris surveillant la ville à la recherche de personne comme moi. Mais avait-on le choix ? Je regardai une dernière fois ma coéquipière puis fermai les yeux. Je me concentrai et sentis mon corps de désintégrer petit à petit. Après quelques secondes, mon corps laissa place à un amat de poussière dorée. Celle-ci se dirigea rapidement vers l'inconnu en longeant le mur. Une fois à sa hauteur, une main se matérialisa et empoigna fermement l'inconnu, qui se transforma lui aussi en poussière couleur or. Les paillettes redescendirent au niveau du sol et je repris ma forme normal, aini que l'inconnu. Je le plaquai au sol et sortis ma dague. Mon regard était froid et accusateur. J'étais bien consciente qu'il pourrait crier et nous faire repérer (si ce n'est pas déjà fait), mais il ne le fera pas. Dans le cas contraire, il se retrouverait bien vite muet. A voix basse mais assez audible, je lançai à l'inconnu :
- Qui es-tu et pourquoi nous espionnais-tu ? Je te préviens, tu n'as pas interrêt à nous faire repérer sinon tu te retrouverais bien vite avec une dague plantée dans le coeur, compris ?
Je laissai ma phrase en suspend et aagitai faiblement mon arme pointé vers lui. C'est alors qu je repensai à la jeune fille qui avait assisté à toute la scène. Je l'avais déjà oublié celle-là. Je me demande ce qu'elle doit penser de moi maintenant. J'essayai de me calmer et dit le plus posément possible à l'intention de l'inconnu :
- Connaitrais-tu un certain Matt Kuraï ?

Je me cachais du mieux que je pouvais quand je vis de la poussière dorée montée et se diriger vers moi. Je n’avais jamais vus de maîtrise de la lumière encore et cella me subjugua Une main se dématérialisa et le temps que je m’en rende compte elle me saisissais et je disparaissais pour me retrouver sur les dalles de la ruelle. La jeune femme me plaqua au sol et me mis sa dague sous la gorge. Je compris que je n’étais pas sorti de l’auberge ! Son regarde étais froid comme la glace que je créais. Je souriais intérieurement. Elle me regardait et je jetai un coup d’œil vers son ami, qui était aussi une femme. J’esquissai un léger sourire mais arrêta de sourie en sentant de nouveau le pression de la dague contre ma gorge. Elle murmura mais de façon audible :

- Qui es-tu et pourquoi nous espionnais-tu ? Je te préviens, tu n’as pas intérêt à nous faire repérer sinon tu te retrouverais bien vite avec une dague plantée dans le cœur, compris ?

J’acquisse. Elle agitait sa dague sous mon nez en laissant cette phrase en suspend. Et son amie ? Elle y avait penser ou pas ? La pauvre elle devait être un peu sous le choque. Mais moi j’avais des problèmes un peu plus importants à résoudre ! Je mettais ma gentillesse de côté et regarde mon ennemie qui était debout et moi au sol. Je la voyais desserrer un peu, juste un peu, le garde de sa dague et elle me demanda :

- Connaîtrais- tu un certain Matt Kuraï ?

Je souris à cette question et regardas mon interlocutrice droit dans les yeux. Je lui dis :

- Et bien il se trouve que je suis Matt Kuraï. Alors si vous voulez bien me laisser me relever et me dire pourquoi vous me chercher je pourrais rentrer cher moi.

Je les regardais et sans attendre de réponse je me relevais et me mis de façon à voir les deux jeunes femmes qui ne s’attendait pas à tomber sur moi. J’attendais patiemment leur réaction.

Quand Métis vit que la jeune fille regardait enfin vers l’espion, elle faillit laisser un soupir s’échapper. Elle avait bien cru qu’elle ne comprendrait jamais. Un instant après, le corps de la personne qui lui faisait face disparut, laissant la place à de la poussière dorée qui se dirigea vers le toit, refuge de l’inconnu qui les observait. Comprenant qu’elle faisait usage de sa magie, apparemment de lumière, Métis tenta de faire diversion en faisant apparaitre une image de la jeune fille là où elle se trouvait quelques instants avant de devenir poussière. Mais connaissant peu son physique et ne maitrisant pas encore sa magie, l’hologramme était non seulement difforme mais en plus s’évanouie après une ou deux secondes. C’était probablement mieux ainsi, un être difforme aurait attiré l’attention plus que l’usage de la magie de la lumière. Par chance, personne ne remarqua ce qui se passait. Un instant plus tard, la jeune fille de la résistance était de retour, plaquant au sol un jeune homme qui était certainement l’espion. Elle le menaçait d’une arme et lui demanda :

« Qui es-tu et pourquoi nous espionnais-tu ? Je te préviens, tu n’as pas intérêt à nous faire repérer sinon tu te retrouverais bien vite avec une dague plantée dans le cœur, compris ? »

Menacer quelqu’un avec une dague n’est peut-être pas le meilleur moyen de rester discret… Pensa Métis

Puis après quelques secondes, elle reprit la parole :

« Connaitrais-tu un certain Matt Kuraï ? »

Que de tact dans la question, si quelqu’un nous écoute, il saurait tout de suite ce qu’on cherche.

Métis avait bien changé depuis son entrée dans la Résistance et elle était devenue un poil parano, se permettant donc de juger les actes d’autrui selon le but qu’ils suivent et de voir si ces actes sont cohérents dans leur ensemble ou non. Et là, les actes n’étaient pas cohérents du tout, mais que pouvait-elle y faire à part en faire la remarque plus tard à l’inconnue, remarque que cette dernière pouvait très bien mal prendre…

Après avoir entendu la question, un sourire apparut sur son visage et sa voix se fit entendre :

«Et bien il se trouve que je suis Matt Kuraï. Alors si vous voulez bien me laisser me relever et me dire pourquoi vous me cherchez je pourrais rentrer chez moi. »

Décidant de prendre les choses en main avant que tout cela ne dégénère, Métis se pencha vers eux, pris la dague des mains de la jeune fille et forçant le jeune homme à se relever, dit avec un grand sourire:

« Bonne idée, et si on y allait tous ? »

Sans attendre la réaction des deux personnes, Métis se pendit au bras de Matt de façon à ce que personne ne voit qu’elle le menaçait avec la dague et invita du regard l’autre résistante à faire de même. Puis d’une voix suffisamment élevée pour que d’éventuels autres espions l’entendent, elle dit d’une voix enjouée :

« Alors mon chéri, c’est où le chemin vers chez toi ? »

Je jetai vivement un coup d'oeil à gauche et à droite. Puis, le jeune homme répondit sur un ton presque moqueur :
«Et bien il se trouve que je suis Matt Kuraï. Alors si vous voulez bien me laisser me relever et me dire pourquoi vous me cherchez je pourrais rentrer chez moi. »
Un courant électrique me parcourut lorsque l'inconnu dit son nom. Matt Kuraï, exactement la personne que nous cherchions. Pourquoi je n'ai jamais de chance ? Je le laissai se relever puis je sentis une main me prendre mon arme. Bizarrement, je la laissai faire. Peut-être à cause du choc que j'avais eu tout à l'heure en aprenant l'identité de notre espion. Je repris peu à peu mes esprits et lançai un regard noir à l'autre résistante. C'êst qui cette fille pour me voler ma dague ? Elle se pendit au bras du jeune homme et le menaça avec la dague.
« Alors mon chéri, c’est où le chemin vers chez toi ? »
J'esquissai un sourire. Elle se débrouillait plutôt bien pour une débutante ... Nous commençâmes à marcher en direction de la place. Les rues étaient presque vides. Le "presque", c'est à cause des patrouilles Nécrosoris qui épiaient chaque passant. Je ne me sentais pas en sécurité, surtout sans arme sur moi. Il me reste bien un petit couteau dans ma botte gauche, mais ce ne serait pas assez pour combattre un ennemi. Je me tenais non-loin da Matt et de la résistante. Je les surveillait. enfin, pas vraiment eux, mais plutôt les espions éventuels ainsi que les Nécrosoris environnents. Je sentis une main se poser sur mon épaule. Mon sang se glaça et je m'arrètai net.
"S'il vous plaît mademoiselle"
*Ca y est, je suis fichue*. Je me retournai lentement, essayant de paraître le plus calme possible, ce qui n'étais franchement pas facile ! Le nécrosoris se tenait là, devant moi.
"Que ... que puis-je faire pour vous ?"
Ma voix était tremblante et mal assurée. Il sortit un papier de sa poche sur lequel se trouvait une photo d'un jeune homme que je ne connaissais pas.
"Sauriez-vous où habite cet homme ?"
"Non, désolée. Qu'a-t-il fait ?"
L'homme, méfiant, hésita quelques secondes avant de répondre.
"Il serait dans la résistance. Nous pensons que plusieurs résistants habiteraient son quartier"
Mon visage devint pâle. Y aurait-il des résistants à Erténot ? Aparemment oui.
"Et que leur ferrez-vous si vous les trouvez ?"
Le garde devenait de plus en plus méfiant.
"Vous posez un peu trop de questions à mon gout ..."
Aïe ... Heureusement, le Nécrosoris tourna les talons et s'en alla rejoindre les autres qui l'attendaient quelques mètres plus loin. Puis, se ravisant, il se retourna vers moi et je me dis simplement :
"La sentence sera la mort ..."
Puis, il rejoignis le reste de son groupe. Il faudra que nous soyons prudent si les Nécrosoris cherchent des résistants dans le coin ... Si jamais ils nous trouvent, on est cuits !

Je rejoingnis en courrant (à vitesse normale pour ne pas attirer l'attention sur moi) les deux personnes que j'avaient laissées lorsque le garde m'avaient interpelés. Je regardais partout, à la recherche du moindre espion, personne louche ... et craignant le pire lorsque je voyais un groupe de Nécrosoris passer non loin de là en courrant. Puis après quelques minutes, nous npous arrêtâmes devant une petite maison, certainement celui de Matt Kuraï.

Hors-Rp: Je suis désolé je répondrais dès que j'aurais du temps et je n'avais pas vus que vous aviez répondus ^^ je réponds le plus vite possible promis :)